Harcelé après avoir torturé un chat, un homme se donne la mort

Un tortionnaire pris en flagrant délit

Un jeune homme, du nom de Robin Marcheras, s'est ainsi suicidé, après avoir torturé et tué un chat en compagnie de ses amis. Harcelé sur les réseaux sociaux, depuis que l'affaire a éclaté au grand jour, le jeune homme a ainsi laissé un statut sur Facebook, où il avouait en avoir assez de ce monde.

Il s'est, par la suite, pendu chez lui.

C'est une femme qui a été témoin de l'effroyable scène, impliquant Marcheras et des amis.

Le groupe, particulièrement éméché, s'est fait approcher par un chat, qui s'est dans un premier temps fait repousser. Le félin, refusant alors de s'en aller, a subi les affres des hommes présents, les individus lui brisant les os, avant de le tuer pour de bon.

La femme, ayant tout enregistré sur son portable, s'est empressée de diffuser la scène sur les réseaux sociaux. C'est ainsi que les trois tortionnaires se sont fait reconnaître.

Un autre chat sur le devant de la scène

chat-méchantAlors que la vidéo a commencé à circuler sur le Net, une association de protection animale s'est emparée de l'affaire, afin de punir les coupables.

La justice a, par la suite, prit les choses en main, en condamnant les trois hommes à des peines d'emprisonnement. Marcheras, qui ne s'est pas présenté à la cour, a alors écopé d'une peine de 6 mois. Se faisant particulièrement insulter sur les réseaux sociaux, le jeune homme n'a alors pu supporter la pression, et a mis fin à ses jours, dans son domicile des Ardennes.
Cette affaire n'est pas sans rappeler celle ayant impliqué un petit chat du nom d'Oscar, qui avait été brutalisé dans un quartier de Marseille. L'affaire avait soulevé un véritable tollé de la part du public et l'individu qui avait brutalisé le chat s'était retrouvé en prison suite à son agression. L'issue a été, cependant,  moins dramatique que le cas de Marcheras.

La belle histoire d'amour entre Internet et les chats n'est sans doute pas près de s'arrêter, même si certaines affaires plus dramatiques que d'autres risquent encore de faire leur apparition à l'avenir.

 

 

 

 

Crédit photo : Pixabay

Note: 
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